Celle qui est
Par la magie du verbe,
Et la lumière de ta fièvre
Qui irrigue tes pensées
D’une si belle prière
Je me pencherais sur ton âme
Pour te dire, je t’aime
Femme de chair et d’espoir
Qui offre la vie,
Offrande infini
Comment ne pas t’aimer
Pour ta si profonde pureté
Je suis un homme errant
Qui d’une mère glorieuse
M’apprit le sens de la vie
Par la magie du verbe
Et la délicatesse de ton regard
J’aimerais te montrer
Le théâtre universel
Celui qui place chaque être
Au cœur des miracles
Cette métamorphose divine
Qui d’un homme et d’une femme
Donne la création d’amour
Sans heurts ni combats
Cet homme et cette femme
Sont des enfants de lumière
Egaux et bâtisseurs
De l’unité cosmique
Par la magie du verbe
Et les tourments du monde vivant
Je condamne l’ignorance
Et l’indifférence des hommes
Brisant sans humanité
La dignité d’une femme
Ou es-tu donc monde philosophique
Qui posa les grands principes
Dont les droits et les devoirs
Sont une égalité que l’on soit un homme ou une femme
Comment proclamer qu’une religion
Quelle qu’elle soit divise
Servant la grande jouissance des puissants
Osera t’on encore longtemps, briser par mépris, la réalité d’une vie ?
Je ne peux que l’aimer davantage
Celle qui est femme,
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