T.E Amis de la vie
Cette vie doit être un partage, un ensemble d'acte provenant de notre conscience.
Cette vie est une bénédiction, elle forgera notre chemin d'une armure de lumière
Cette vie devait devenir bien plus, mais l'être humain a oublié ses racines
Le poids des siècles
Près de l'âtre rougeoyant
Libérant sa chaleur sur les longs tourments
Le vieil homme écrivait sur son livre de chevet
Sa petite maison était maintenant, la dernière habitée
Depuis tant d'années qu'il vivait seul isolé
Il avait fait ce choix, brisant un confort de vie
Il avait préparé son départ, minutieusement
Il était encore gaillard, et aimait tant la nature
Il n'avait rien dit à son entourage
Petit à petit, il avait lu les annonces
Partant à l'aventure visiter tant de lieux
Et puis un jour, il avait trouvé sa maison
Un petit hameau au bout d'une longue route de montagne
Quelques maisons, et encore des habitants
Mais la solitude régnait et il s'installa
Il avait tout vendu, ne laissant rien derrière lui
Un intermédiaire lui avait trouvé cette maison
Encore solide mais avec beaucoup de travaux.
Il s'installa, ravi et se mit au travail
Durant les mois d'été, il répara la toiture
Et rendit la maison comme il le souhaitait
Accueillante et offerte à la vie
Il posa ses cahiers sur une grande table
Et chaque soir il relisait ses écrits à haute voix
Il parlait aux étoiles, et invitait à sa table des hôtes invisibles
Les autres habitants le prirent en sympathie
Ils étaient aussi très seuls et beaucoup plus agés.
Il s'occupa d'eux tendrement jusqu'au dernier vivant
Le petit cimetière ancestral ferma alors ses portes
Et le vieil homme devint le gardien du hameau
Un soir, il laissa sa bougie allumée sur le rebord de la fenêtre
La pleine lune régnait en maîtresse sur les murs abandonnés
Quelques ombres passèrent puis s'arrêtèrent
Trois ombres prirent consistances, et quittèrent l'éphémère
Elles vinrent prêt du lit ou l'ami dormait
La lumière lunaire baigna leurs silhouettes
C'étaient trois filles de gaya, la déesse des éléments
Chacune messagère des mondes oubliés des êtres de cette terre
Elles sourirent devant le sommeil du viel homme
Déposant un baiser sur son front apaisé
Elles placèrent dans son coeur les derniers symboles de sa vie
Lui qui avait tant écrit sur les mondes de magie
Les petits peuples l'aimaient et lui parlaient souvent
Lui qui pensait aux muses recevait l'amour des rois
Assis près de l'âtre, le viel homme écrivait
Plaçant par moment des buches dans le feu
Dehors, la neige commençait à tomber
Et les nombreux oiseaux affamés se rassemblaient
Demain matin, il ouvrirait légèrement les volets de la grange.
Là ou il venait de déposer les mangeoires de ses amis
Ils pourraient y séjourner mangeant à volonté
Il y aurait aussi les petits mammifères de nos campagnes
Le village devenant une arche de survie pour les petits mondes
Le viel homme plongea son regard dans les photos de son passé
Quelques larmes coulèrent, il avait longtemps aimé
Il rangea topus ses livres, soigneusement classés
Demain matin, le notaire serait présent avec deux fonctionnaires
Le viel homme l'avait appelé pour prendre soin de sa succession
Il ne restait à recevoir que ses petits trésors.
Sa bibliothèque et ses écrits si chers à son coeur
Toute cette longue histoire qui peut être sera publiée
C'était au moins la réponse d'une maison d'édition
Enthousiasmé par son style et l'évasion recherchée
Tout était prêt, si bien rangé, dans la chaleur de l'âtre rougeoyant
Le viel homme apaisé s'allongea sur son lit
La lune , som amie éclairait son visage
Les trois filles de Gaya passèrent la porte de lumière
Elle tendirent leurs mains et le viel homme les prit
Il se retourna vers ce corps qui n'avait plus de vie
Tout était parfait il se sentait heureux
Quand il franchit la porte les chants s'élevèrent
Avant de s'éloigner dans les bras des filles passagères
Il demanda à Dieu de pardonner ses abandons
Ainsi s'écoule chaque vie
Fleuve d'exil
Le fleuve des exilés
Je ne peux que me rappeler
De cette autre dimension
Ou je naviguais, de port en port
Sur des océans de lumière
Ou le cœur des êtres marins
Palpitait de la richesse du miroir du temps
Autre fortune que ce plan géniteur de mes regrets
Je voudrai tant y retourner,
Pour y goûter à tant d’amour perdu
Mais les regrets m’ont ouvert la raison
Et cette compréhension des symboles du temps
Palpitations incessantes peuplant mes nuits d’appels
Ou changeant de métamorphose j’apparaissais libre
Des pesantes contractions de mon plan d’ignorance
Fleuve des longs soupirs
Fleuve ou la reine guette son époux
Fleuve des tribus libres attendant l’ordre final
Le temps se confond dans ses propres tribulations
Ou est donc ce temps présent libéré de ses illusions
Ne voyez-vous pas que le soleil illumine chaque cœur
D’une vérité repoussant les dogmes au bord d’un gouffre sans fond
Humanité si hautaine dans la reconnaissance de tes gènes
Toi qui puise chaque vérité ou plus loin de ton règne
Ames renaissantes, vous étiez mes compagnes
Je vous retrouve si sereines à l’aube de votre révélation
Vous êtes enfants de l’immense soupir d’un éternel amour
Conçu des vibrations et d’un ADN divin
Ne rejetez par cette essence de pure lumière
Ou chaque palpitation engendrera votre compréhension
Etes-vous enfin prêtes à vos débarrasser de vos oripeaux
Vous lavant dans l’eau cristalline pour renaître purifiée.
Nous changerons les rythmes et les lois, pour vivre de liberté
Dans un ciel d’éternité nous reprendrons notre route
Sans nous retourner sur un océan de doutes
Dans les voiles de l’épais brouillard le roi retrouve son peuple
Il l’a tiré d’un règne ou l’obscurité se repaissait de son désespoir
J’ai posé l’embarcation sur cette rive obscure
Et appelant mon ami son peuple l’a suivi
Je n’étais pas seul, au bord du monde noir
Les gardiens veillaient à faire renaître l’espoir
Quand les chaînes sont tombées de la pénitence avouée
Les plans ont chanté l’ordre retrouvé
La reine et le roi se sont de nouveau aimés
Et le couloir de lumière s’est ouvert à ce peuple égaré.
Ce fleuve coule inlassablement dans nos cœurs d’enfants
Nous nous croyons riches de nos connaissances alors que nous apprenons
A l’échelle de l’infini, nous avons encore beaucoup à comprendre
Nous avons choisi cet exil pour apprécier les vertus
Nous avons le choix, et le libre arbitre,
Débarrassons-nous des faux semblants
Ouvrons nos cœurs à l’amour total
Soyons riche de nos vibrations, repoussons les tentations
Nous pourrons alors sereinement franchir à nouveau le tunnel d’une nouvelle dimension.
Privilège d'aimer
Je ne peux pas ne pas aimer
Ce qui en soi consume ma foi
Père, de ton amour, je suis né
Que de merveilles j'ai dès lors puisées
Chaque chemin fut bâti sur ton essence
Simple divinité offerte au partage
Nous devions non pas la craindre
Mais lui apporter notre fraternité
Nous, enfants de toute l'éternité
De tous ces mondes livrés à ton tempo
L'errance de l'être de ce plan t' a ignoré
Et n'a perçu de tes grâces que l'énergie de son EGO
Quelle impitoyable tromperie conjuguant notre monde
Dans l'ivresse des guerres ou le profit festoie
Je te démasque toi le maître démon
Et tes sbires sans lois
Qui dans ce monde fragile abusez de la foi
C'est bien vers le ciel que mon regard flamboie
D'une autre énergie qui se nomme amour
Vertu d'un éternel retour concluant nos parcours
Ce privilège d'aimer, chaque âme ne peut oublier
Il importe à chacun de briser l'illusion
Renaissant ainsi aux portes d'une aube sans retour
Toucher un coeur
De la seule grâce de la vie
Et de sa profonde philosophie
Celle qui nous fait voyager
Au delà des barrières de notre humanité
Enseigné et institutionalisé par l'être
De la seule grâce de la vie
Tout s'annulera
Rien ne peut toucher la lumière de l'amour
Elle est si simplement présente
Et offre à chaque coeur, la création
Il y a tant de règnes éphémères
Tant de quêteurs de vérités superficielles
La seule vérité est en vous, et elle est vous
Cjhaque être puise dans la création sa vie
Rien ne pourra remplacer les marques de vos actes
A la veille de chaque parcours, la loi s'applique
Pas celle des hommes, mais celle de la création
Chaque parcelle divine sommeille dans la chaleur de votre coeur
Donnez lui la confiance d'être ce que vous voulez être
En totale vérité de vos ressentiments
Pas du tout en victiime consciente ou inconsciente
D'un système de pensée
La loi des hommes est d'un bien triste tourment
Qu'elle s'applique en obligation sans en comprendre les raisons
Pourtant en touchant le coeur de votre amour
Vous ouvrez les portes d'un infini ou le tourment n'a plus de raison
Seule la lumière de ce graal cosmique conjuguera l'illusion
En présentant à chaque être le fruit d'une rédemption
A nous de consentir le choix du fruit
Amer ou sucré, lumière ou obscurité
La seule sagesse ne sortira pas du verbe
Mais simplement du coeur de l'humble
Toucher un coeur c'est aimer
L'âme
Je peux puiser dans les textes, toutes les explications possibles et imaginables sur la nature de l’âme. Je peux aussi m’en satisfaire et accepter ce que d’autres ont écrit. C’est ainsi que ce déroule la vie quotidienne de notre humanité. Structure bien huilée et bien réglée qui se veut sécurisante pour, qui ? Voilà cette problématique.
Si j’accepte de vivre dans cette humanité ou les règles et les devoirs s’imposent par la vertu de ceux et celles qui les ont écrits, je deviens innocent de la vérité. Je choisis une vérité qui n’est pas la mienne pour vivre dans une autre, me voilant par de même ma voie.
Ceci pourrait devenir une question existentielle, si je ne trouve pas de réponse à ma question, qui suis-je, hors de l’espace et du temps. Pour beaucoup, cette question va les suivre toute leur vie, ils accepteront pour autant la loi de leur clan. Ils demeureront fragiles, ne sachant interpréter les interpellations qui naissent en eux. Ils ne trouveront pas de réponses les satisfaisants. Le terme de troupeau docile collera sans doute parfaitement à tous ceux et celles qui s’accrocheront à une forme de pensée en ne retenant que ce qui semble les rassurer dans les messages délivrés.
Je me suis depuis l’enfance posé ces multiples questions, j’aurai pu raisonner autrement, me satisfaire de mon environnement et appliquer les jeux d’enfance sans me soucier de ce qui sommeillait en moi. Dès que j’ai pu marcher, j’ai pris contact avec ce que personne ne semblait ressentir. Sans la rechercher, j’étais bien dans cette nature. Mais pas, que la nature visuelle, celle insoupçonnable des sentiments. Les éléments me parlaient, en profondeur, je suis devenu confident de mondes, évidents pour moi, mais irréels pour les autres. Je me rappelle très bien les qualificatifs vis à vis de moi, trop d’imagination, solitaire, même sauvage mais attachant.
Il y avait ce corps physique qui vivait bien dans son environnement, avec les préceptes de sa société. Education judéo chrétienne, respect des structures de vie, des parents, des autres. Ce respect permanent de la société qui était présente pour régir les lois dictées et imposées par elle. Avait-on réellement le choix d’y adhérer ou pas ? Je ne pense pas car nous devenions parias.
Ce parcours d’enfance, m’aura permis de me lier sans pour autant en comprendre la raison, avec d’autres résonnances plus subtiles et particulières que me refusait ma nature humaine. Il y avait donc en moi, un intérêt de vivre dans ces accords. Je pense maintenant, que mon âme, gardait ses mémoires passées ouvertes pour que j’y puise ma véritable raison de vivre ce parcours humain dans ce corps physique terriblement ancré sur l’obscurité. Vous devez vous dire, un enfant n’a pas ce raisonnement et vous avez raison. Mais ne l’ayant pas, il peut exister en nous et nous éveiller à ce que nous désirons être plus tard. C’est longtemps après que nous pouvons comprendre cet état. Notre vie devenant un parcours éclairé.
Avec une petite nostalgie, j’aime me rappeler mon chemin d’enfance. Les liens tissés avec les mondes magiques, avec les petits peuples que je côtoyais à tout moment. Les longs moments à discuter avec des petits personnages qui restent encore ancrés en moi. Quelle émotion de les aimer encore et toujours. Ils auront été mes compagnons dans le début de ma vie sur ce monde.
Sans jamais les oublier, l’enfance fit place à l’adolescence. L’école me donna des notions solides sur ce qui régit en permanence notre société. En fait je me passionnais pour tout. Les matières enseignées par les maîtres d’école construisaient ma nature matérielle de ce plan. Comprendre cet environnement, familial, éducatif, constitutionnel, professionnel, historique, géographique, mathématique. Cet appétit d’apprendre me plongea dans la lecture, abondante et passionnelle. Je dévorais plusieurs livres à la fois, jusqu’à devenir responsable de la bibliothèque de l’école primaire. Je continuais ces livres par mon imaginaire, leur donnant une autre fin, une autre trame, une suite aussi. Là dessus je n’ai pas changé.
Parallèlement, par tradition je fis mes communions, passant à l’église et recevant une autre éducation. Celle religieuse qui en tant que telle ne me passionna aucunement. Je ne sentais aucune vérité qui pouvait résonner en moi. Peut être que mon âme très protectrice me plaçait en alerte de la nature des écrits expliqués aux apprentis. Pourtant je puisais dans cette bible d’autres images. Les personnages ne prenaient pas en moi les formes que l’on voulait m’imposaient. Jésus était autre, Marie vibrait avec la nature, les éléments. Jean l’évangéliste frappait à la porte de mon cœur. Je dévorais l’apocalypse car elle générait des images et des visions. J’avais des visions que je gardais secrètes par méfiance naturelle et je me suis toujours méfié de ce plan. J’ai vécu ces moments en rejet de la tradition et en acceptation des messages que je recevais. Cette spiritualité instruite sous la tutelle de la religion ne me convenait pas. Elle prenait une autre forme passionnelle dans le partage avec la création, la nature, et je suis persuadé que mon âme soignait ce cheminement en accord avec les équilibres de ce plan de vie. Nous ne devons comprendre que l’harmonie et ne pas se placer en discordance avec nos différentes énergies.
Ce qui perdure en moi de cette partie de ma vie, est une correspondance entre le parcours dans le désert de jésus et la façon dont je me le suis traduit intérieurement. Je percevais la confrontation avec nos propres démons pour franchir une étape dans l’élévation de son âme. Soit l’on se retrouvait d au sein de sa nature divine dans un corps humain ? Soit l’on s’acceptait ainsi en opposant à l’obscurité ses craintes, ses peurs, son abandon des acquis de sa propre âme tout au long des vies passées. Soit l’on marchait davantage vers la lumière en ne donnant pas aux craintes, aux peurs et à l’abandon leurs natures humaines mais leurs réalités divines. S’accepter sur ce monde avec son parcours mais en plaçant toujours devant soi son amour et le divin qui coiffe l’âme de son rayonnement. Franchir les obstacles en ne rejetant pas les difficultés mais en gardant toujours confiance en la création, en ce Dieu que les institutions nous déforment en le rendant à l’image des êtres humains, alors que c’est bien notre parcours sur cette terre qui doit nous rapprocher de lui.
Quand j’eus totalement appliqué cette philosophie en moi je me mis réellement à la vivre. Je pris la vie comme elle se posa devant mes pas. Goûtant chaque journée comme autant d’apprentissage. Le côté matériel épousa à merveille ma spiritualité et la place des plans parallèles demeura en permanence à mes côtés. Je pus associer sans que les autres s’en aperçoivent cette démarche quotidienne. Cet ensemble devint et reste ma nature humaine. Les voyages professionnels arrivèrent et les découvertes s’enchaînèrent. Des sociétés différentes, des religions, des personnes rencontrées, des vies locales intenses. Un amalgame qui me convainquit que la place de l’être humain sur ce monde n’est pas d’être esclave d’une loi, fut-elle matérielle que spirituelle, mais bien de s’ouvrir sur sa nature divine en puisant dans son environnement l’amour universel qui y règne.
Dans ma démarche, je me passionnais pour tout, le paranormal, les phénomènes OVNI, les spirites, les êtres humains de grands rayonnements spirituels. Les êtres de grande foi, quelque soit la religion, ils sont et demeurent dans l’amour de Dieu univers. Je continuais à lire, toutes les pensées me passionnèrent, j’eus ma période mazdéisme, soufique, essénienne, Tibet par Lobsang Rampa, chrétienne par les deux Thérèse (Avila et Lisieux) avec Jean de la croix. Ma période découverte de ce que certains appellent don, voyance, guérisseur, et d’autres. Mais pour cela, un jour, je reçus une interdiction, une petite voix qui en moi me dit, ce n’est pas ta voie, mais si tu le fais pour aider les autres par amour cela viendra naturellement. Je ne suis donc pas devenu « voyant » ou autres appellations.
La vie est un magnifique parcours que l’on doit mener en conscience. De découverte en découverte, laissant à cette âme que l’on cherche à définir inlassablement sa nature première. L’âme est notre véritable identité, qui épouse d’incarnation en incarnation l’accomplissement d’un choix qu’elle a fait en choisissant de venir sur ce plan. Je l’écris sans vous l’affirmer, ni en puisant dans des lectures. Je l’écris parce que je le traduis ainsi, et cela est ma nature de le vivre pour cela. Notre âme ouvre en nous les mémoires, pas pour y replonger mais pour se rappeler que le passé demeurera le passé. Et que cette vie prolonge la compréhension des erreurs en les corrigeant par nos actes.
Les mémoires demeurent pour moi un puits dans lequel je puise le verbe de mes écrits. Cet imaginaire ou les plans de lumières jouent pour ma plus grande joie. Ma vie humaine est complexe, mais il n’y aura pas de résignation, je suis par choix dans l’amour de ce Dieu création, universel. Toute la création est en lui, en nous, les éléments sont notre source que l’on détruit car les êtres de ce plan vivent dans l’EGO, sous sa forme de domination.
Dieu est universel, sa nature n’appartient à personne. Surtout pas aux dogmes. Nous pouvons et devons prier ce Dieu dans nos actes, et le faire dans un endroit de paix est essentiel. Que ce soient des églises, des temples, des mosquées, la forêt, la montagne ou l’océan, le cœur doit s’ouvrir à l’amour, au partage, au pardon. Notre monde est devenu doctrinaire et totalitaire. Le pouvoir qu’impose l’être sur l’être n’a rien à voir avec le divin.
Notre âme est libre du choix, acceptez-la et votre conscience s’éveillera à l’amour qui échappe à l’espace temps. Nous sommes pour la dernière fois dans un accomplissement individuel et collectif ; Notre cœur doit battre avec notre âme sur les mêmes accords. Si votre route individuelle est difficile, vous serez accompagné par le don d’amour qui existe autour de vous. Il faut l’accepter en conscience et le faire rayonner en permanence par des actes. Mêmes insignifiants ils seront une offrande à l’amour. Je vis cela et vous le partage aujourd’hui.