T.E Présences
Cet autre plan
Cet autre plan
J'aimerai tant vous guidez vers elles
Dans cette magie ou elles sont reines
La ou l'énergie d'Avalon dissipe son règne
Quoi de plus merveilleux d'être là bas heureux
Je vous présente Garane ma fille des étoiles
Fille d'Apollonia, venue jadis d'Orion
Ouvrez vos mémoires sur les prêtresses d'Orion
Cette magie précurseur des cultes de nos forêts
Druides et druidesses de notre terre si lointaine
Les ou les pieds de l'être de notre plan ne pouvaient te fouler
Temps de nos mémoires, souvenez-vous-en
Temps des vaisseaux de cristal, ou les crânes rayonnaient
Je lève devant chaque âme ouverte à l'écho, les symboles
Ces marques d'une aube nouvelle qui s'offrent à votre verbe
Nous étions dans les vibrations, ensemble, multiples
Laissez faillir vos mémoires, laissez vos ailes s'ouvrir à la lumière
Amour, cristal, vibrations
Divin, rayonnement, déplacement
Conscience, vie, cheminement
Education, partage, échanges
Je ne suis plus dans le passé
J'ai la conscience de mes perceptions
Je les accepte, les reconnais
Mes évolutions m'ont donné cette réalité
Quand la lune première touchera ton cœur de sa grâce
Et que l'enfant nait du cristal viendra vers toi
La treizième fille des étoiles ouvrira son antre
Et ils viendront nombreux quérir leur droit
La robe éthérée m'enveloppe de mille parfums
Donnant à mon cœur d'enfant la saveur de l'émerveillement
Ouvrons nos cœurs aux paroles issues de la pierre
Livrés au regard de l'œil de l'oubli
Aimer, donner, partager
Prendre la main de l'invisible sceau et la partager
Sur ton cœur se lèvera l'indicible bonheur
Un baiser de la foi, sous la voûte étoilée.
Voici la fille des prêtresses de nos songes ancestraux
Qui porte la grâce de la clef de la nouvelle ère
Intra terre, de tes cités profondes, je perçois tes chants
Cet autre plan, qui en vous s'éveille
Transparence
Transparence
Sur les marches de cette terre, je reçois
Et chaque pas offre un credo, en offrande acceptée
Il y a ce diaporama, notre vie, votre vie, nos vies
Dans lequel chaque âme se libère de sa substance sacrée
Les liens se tissent, et un ordre s'impose de fait
Les cœurs se lient entre eux, comme peuvent le devenir les amitiés
Il y en aura de solides, fermement fortuites, mais bienvenues
D'autres seront plus légères, simplement ordonnées par les convenances
Politesse de l'illusion, de l'impersonnel écran du net
Qui peut laisser supposer que l'autre peut nous ressembler
Cela peut suffire et surtout combler ce temps si pesant
Ou avant la solitude dévorait notre cœur d'un manque d'amour
Pourtant, l'envie d'être davantage lié à l'autre naît aussi de l'envie
Car nous sommes humains, et demandeurs de sagesse
Nous avons besoin de nous lier en amitié et parfois en amour
Avec d'autres vagabonds de mondes par encore réels
Cet imaginaire fécond qui peut encore gonfler nos cœurs
Et favoriser des attachements qui sont terriblement humains
Tout nous conditionne pour que nous soyons soumis
A un dogme, à des lois, à des décisions, à des choix
Certains diront qu'ils sont bien nécessaires à cette humanité
Pour la diriger, la manipuler, la corrompre, et la soumettre
A ce que les puissants apprécient, l'hégémonie de leur règne
Soyons transparent, laissons vivre notre cœur, plaçons l'écoute sur de nouveaux échos
Jamais l'humanité n'aura subi autant de menaces
Les peuples ne sont plus des peuples mais des troupeaux
Malléables, oppressés, manipulés par la communication
Tout est servi par ces pouvoirs qui décident d'un avenir de tyrans
Mais face aux lois naturelles, qu'en restera-t-il sinon le néant
Je vous dresse un schéma bien négatif d'une perception
Pourtant la vie peut devenir harmonieuse, ouverte au partage
Comblant les pèlerins de cette terre de la vérité
Tous les dogmes sont venus de la loi des hommes
Un Dieu d'amour, inspirerait-il à ses enfants la haine des autres?
Ne peut-on pas vivre dans la différence tout en offrant le respect
Personne ne détient de vérités sur ce monde égoïste
Chaque être suit sa propre vie et reste attentif aux autres
Portés par un navire dont le seul capitaine est créateur de vie
Transparence des sentiments, imprimer sa lumière dans chaque cœur
Pour la seule raison d'aimer ce qui deviendra géant
Propager son utopie, dans l'offrande du dieu vivant
Chaque cœur, chaque âme, touchera sa grâce
Au delà de la passerelle du temps
Dans notre cité, rappelez-vous
Un regard un baiser
Sommeil d'un soir léger
Ouvrant mon coeur aux songes
On dit souvent, rêve éphémère
Rêve compensateur d'une action
Le plus souvent rêverie et oubli
Et pour la plupart, le rêve est inutile, ils dorment.
Pour moi, le rêve est une autre vie
Fécond et passionnant, il peuple mes nuits
J'arrive à me préparer au futur rêve
Je vois des images défiler en moi
Des scènes, des décors, des appels aussi.
Vient nous voir, encore, nous t'attendons
Je vous rassure, dans ce cas précis, je suis zen
Bien évidemment, j'ai toujours vécu ainsi
Depuis l'enfance ou le rêve me suivait le jour
Les petits personnages de la nuit m'accompagnaient
Je peux dire que grâce à eux, mon imaginaire s'est enrichi
Les galeries magiques qui partaient de l'arbre
Et les cités souterraines, ou je voyageais
Enregistrant les scènes, et parfois les modifiant
Ils me protégeaient souvent quand je sentais une menace
Vous savez, des âmes noires très voraces et pernicieuses
Qui vouent à la lumière une haine terrible
Elles n'aiment pas ces veilleurs qui s'invitent parfois
Et qui occasionnent des luttes, pour sauver d'autres âmes
Le temps est bloqué, et il faut oeuvrer, prier
Le rêve devient tout autre, il parait exorcisme
S'appuyant sur d'autres entités issues de plans très élevés
Ces êtres de lumières ont besoin de nous
Ils ne peuvent pas oeuvrer dans les vibrations de notre plan
Savez-vous que nous sommes aussi la pour apporter cette aide
Pour aimer, pardonner, tendre la main à des âmes abandonnées
La richesse du rêve vous parait passionnante, elle l'est
Je prolonge bien des rêves, privilégiant parfois des amours magiques
Ou des mémoires aiment à se confondre pour nous interpeller
Se souvenir de nos parcours, sans pour autant y replonger
Les accepter en soi, tout simplement pour comprendre qui on est.
Appréhender les lendemains ou la raison ne sera plus ce que l'image nous reflète
Cette illusion d'une existence, qui n'a d'autre vérité qu'être
Aimant cette balade dans j'étais, je suis et je serai
Voyage romantique d'une âme, retrouvant ses soeurs et ses frères
Ce plan vous propose de charmantes retrouvailles
Cités antiques, mondes chimériques, espace stellaire
Nous nous retrouvons, en famille d'ADN
Le rêve est cet acte, ou tout est possible
Je le vis, le confond, le passionne, et le compose
Il inspire ma prose, car mes invités la sollicitent
Ils nous demandent d'être et de partager
De témoigner chacun de nous en force
Dans les formes qui nous élèvent dans ce que nous sommes
Des énergies d'amour conscientes et reconnues
Enfin affirmées et prêtes à accompagner celui qui vit parmi nous
24.01.2012 jean marc BALLESIO
Le glaive
Que celui qui le brandira soit
Issu de la voix de la celeste création
Posera son pied sur le sol d'un monde
Qui se voulait si vertueux
Les âmes se sont égarées
Elles ont perdues leurs divinités
Venues de cet Eden ou l'énergie vivait
Lumières étincellantes d'un frénétique amour
Nous âmes premières devions offrir cet amour
Quand du sol de cette terre,
Nous fîmes surgir les cités
Bien avant les mémoires de ce temps
Bien avant les premiers cycles de ce monde
Ouvrons nos mémoires
Soeurs , frères, de ce temps, retrouvés
Chaque écho comble notre quête
Nous nous retrouvons
Nous reconnaissons, appelons les enfants
Toutes ces nouvelles âmes de lumières
Qui accourent pour la nouvelle terre
Elles portent en elles le message du temps nouveau
Mais le temps de la rédemption est aussi posé
Se livrera en ces temps l'échec de la dualité
Nous choisirons en conscience
Libérant nos mémoires retrouvées
Nous reconstruirons un autre âge
Dans la lumière d'une nouvelle humanité
Le glaive reprend sa place sur la pierre levée
Il attend le rédempteur, le fils dernier
Celui qui exécutera la volonté du père
Celui qui est et que nous recevons
24.01.2012 jean marc BALLESIO
Deux âmes
Je vous en serai gré, chère âme,
De guider ce silence ,
Tout au long de votre fil d’argent
Ne pouvant plus corrompre
La sagesse de l’ordre du temps
Quand votre flux, posait sur mes désirs
Les suaves pulsions, et mes rêveries sensorielles
Ce temps ou les peuples conservaient la mémoire
Des merveilleux contes portés par les héros.
Vous m’étiez si chère,
Nous nous aimions déjà.
Sans craintes du tyran, qui vous convoitait.
Vous étiez déjà dans la lumière des mères
Porteuse des âmes d’enfants
Qui sur les longs chemins de l’exil
Plaçaient leurs litanies dans les échos de la gloire
Notre cité antique martelait notre mélancolie
N’avions-nous pas disposé de la décision ?
Quitter ce havre céleste, pour suivre Gaya
Terre d’éducation ou l’être devait tant apprendre
A-t-il enfin compris, aujourd’hui que son règne s’épuise
Nous pourrions devenir si las, d’avoir osé les aimer.
Fruits de toutes ces vies d’une si pure beauté
Portés par l’arbre majestueux des profonds sermons
Les cœurs des enfants livrent encore ces secrets
Pur angélisme ou l’arc s’accorde d’une harmonieuse tension
Voici venir l’annonciateur, et nous le connaissons