Parcours de mémoires

Ma maman MARIE

Il y a au ciel, loin des  cieux de mes pensées
Une dame toute en beauté, en amour, en force divine
Il y a dans nos cœurs tout l'amour d'une mère qui soigne nos plaies
Qui nous montre la voie, et nous sourit avec tendresse

Il y a dans nos ressentis, la présence de toi Marie
Qui en moi, prends une belle dimension d'amour
Qui soigne mes plaies anciennes en me poussant à avancer
En me disant, viens me voir, oui , viens me voir

Et dans les plis de la tendresse de ma vraie maman disparue
Bien que l'âge humain pourrait nous donner une certaine contenance
Il reste l'enfant face à la dimension de l'amour divin
Amour cosmologique si vaste que tous et toutes y baignons

Amour rayonnant qu'il nous faut si simplement l'accepter
En ouvrant nos bras d'enfant et en disant maman! Je t'aime
Amour naturel car aimer est l'acte le plus simple à réaliser
Le plus dépouillé aussi des miasmes des pouvoirs matériels

Il y a dans le cœur de chacun cet enfant qui sommeille
Et qui dans son EGO pense devenir un dieu idolâtré
Par une communauté soumise à des lois écrites par l'homme
Il y a dans le cœur toute la tolérance d'une maman

Parfois, dans les chemins d'une vie à peu près traditionnelle
Des appels inconnus viennent poindre à notre écoute
Nous les chassons car notre loi est si ignorante de la vie
Et pourtant, apprenons à apprécier sans tabous ni intellect

Et nous sentirons naître en nous d'autres mondes merveilleux
Ou les mères nombreuses viendront bercer leurs enfants
Pour nous instruire sur GAIA la terre bienfaitrice
Mère de nos chairs, sœur de Marie maman du ciel et de nos âmes.

Je parle de vive voix et sans retenue aucune,
De mon amour de Marie, car elle berce mon cœur de son écoute
Et elle me redemande, "viens me voir" Elvella le sait, et connaît l'endroit
Oui, mon enfant viens me voir et tu pleureras très fort

Et tu verras deux soleils si beau que ton cœur saignera
Mais point de sang des flots d'amour libéré
Partants panser les plaies de ceux qui souffrent
Et qui s'éveillent à mon amour car en vérité

Vous êtes tous des enfants de DIEU;

jean marc