Toi, le sans nom
Qui donc es-tu pour marteler le temps
Ephémère tentation puisant dans l'homme l’EGO
Le rendant puissant par l'illusion du pouvoir
Pour le faire chuter dans la honte sans gloire
Toi, le sans nom qui franchit les barrières du temps
Immortel étranger au monde des vivants
Insupportable non lumière qui vampirise l'âme errante
Pour la rendre si futile qu'elle parait grandie
Tu as nourri l'outre monde des bravades de tes enfants
Tant de crimes et de hontes et te voila ravie
Tu as fui la lumière et l'amour des galaxies
Pour pousser les hommes vers l'hallali
Fatal combat qui ressurgit à l'heure des consciences éveillée
Voici que les hommes comprennent que tu les as bernés
Que ta présence fut sans gloire mais irriguant la haine
Pour séparer les humains en cultivant les règnes
Voila que se lève aux quatre directions l'imposant troupeau
De ceux que tes pairs traitaient en bétail sacrifié
La conscience marque désormais la nouvelle liberté
De ce que l'être éveillé réclame en justice proclamée
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