La caresse de l'ange
La caresse de l’ange
L'enfant dormait dans la solitude d'une chambre cachée
Il était lumière et sa vie si triste, si persécutée
Si seul dans le chemin de ce plan, ou tout se construit dans l'amour
Il était rejeté par une famille d'accueil, plus avide de profits
Mais son âme était si belle si forte et aimée de Dieu
L'enfant dormait comme tous les soirs dans le noir parfait
Et les bisous ne venaient plus, pourtant il en rêvait
Les caresses d'une maman ne venaient plus, pourtant il en rêvait
Les lectures de contes magiques étaient perdus dans le passé
Mais son âme flamboyait pour les lutins qui lui parlaient
L'enfant priait comme tous les soirs après des gestes absurdes
Ou le mal se donnait par plaisir sur un enfant de tendresse.
Il avait pleuré car il n'en pouvait plus de tant de malheurs
Sa vie n'avait que quelques années et pourtant son âme rayonnait!
Sa maman lui manquait et il l'appelait si fort si tendrement
L'ange de beauté vint à lui avec le message de Dieu
Il le prit dans ses bras et déposa un baiser de lumière
Les lutins du petits peuples sautèrent de joie, car ils avaient compris
Il préparèrent le grand traîneau de cristal aux mille couleurs
L'ange prit l'âme de l'enfant, délicatement et les chants s'élevèrent
D'un monde ignorant ou l'enfant doit vivre d'amour
J'écris ces quelques lignes pour parler d'amour
Nous sommes cet enfant, demandant par la prière l'amour
Dans la misère parlons de vie, d'aide et de prières d'amour
Avec l'ange, nous porterons cet enfant vers la lumière
Dans la force de notre présence sans juger et sans haine
Nous porterons vers MARIE le plus cadeau de notre vie
La présence d'une maman qui nous manque tant.
Dans le mur ancien ou les creux étaient légions
Mon imaginaire d'enfant y voyait des mondes inconnus
Les grandes grottes secrètes ou les petits lutins vivaient en famille
Et je restais longtemps en concentrant mon imaginaire
Sur ces décors que seul mon esprit concevait.
Cette enfance discrète toute faite d'écoutes de GAIA
Je la passais en concevant mes décors dans un autre monde
Peut être par rejet de mes perceptions imparfaites
J'errais souvent entre les flux de mes ressentis
Allant souvent demander à mes amis, leur amitié
Partageant leur complicité j'ai beaucoup voyagé
Sur les navires Elfiques vers le monde inconnu des anciens
Dans les cavernes de GAYA ou vivent des êtres fantastiques
Sur les plans de lumière ou les âmes nous parlent d'amour
Dans le ventre du savoir seule emprise de mes désirs d'enfant
Et la vie est passée, cannibalisant les pensées de joie
Me plongeant souvent dans l'acceptation de ce que je refusais souvent
J'étais devenu un ermite acceptant sans juger
Simple mortel égrenant mon chemin, dans les pas de mon destin
Portant l'étincelle de joie était toujours en moi
Je pensais à mes amis, en me demandant, ou sont-ils?
Une petite prière en passant pour leur rappeler que je les aimais tant
Et cette vie s'élançait dans des méandres toujours présents
Me menant vers des mondes ou l'homme était présent
Et de ces actes, je témoignais de mon impuissance à lutter
J'arrive sur ma route à éclairer de nouveau
La lanterne magique de mon petit peuple chéri
Et je les appelle dans mon jardin fleuri
Quittes à construire des murs faits de trous
Pour leur offrir une capitale ou la lettre magique
Rimerait avec magie, pour convenir à mon bonheur
Et nous verrions arriver enfin, les licornes
Les Elfes majestueux, et les nymphes merveilleuses
Et les fées complices des anges, dans le secret de leurs rimes
M'autorisant enfin, à inviter autour de la grande table des merveilles
Les petits lutins de mon enfance, et je vous inviterais tous et toutes
Pour partager ensemble le dîner d'amour
jean marc
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