Parcours de mémoires

Chaque pas

Tu marques le temps d'une impersonnelle envie

Vivre, dans la lumière de ta philosophie

Ouvrir au monde, les portes de ton imaginaire

Ordonner universellement le pur amour

Cet amour qui doucement sommeille en toi

Ce monde, t'a donné naissance, l'as-tu accepté?

Il a ses propres lois, construites savamment par l'être humain

Etre qui pour asseoir davantage ce pouvoir corrompu

Manipule sagement un troupeau, endoctriné par l'illusion

 

Il fallait que tu sois victime et tu l'as été

Pour enfin comprendre une autre vérité

Sans obstacle, ton coeur pouvait rêver

Mais au-delà tu rève, il y a bien cette réalité

Regarde ce monde, inspire-toi des échos du temps

Ecoute les lamentations des siècles de pénitence

Ou l'être innocent, demeurera un écorché de sa foi

Je ne veux plus croire mais être dans ma foi

Ce cri ou chaque pas, le place au centre de mes palpitations

 

Vous ne me retirerez pas l'inconditionnelle lumière qui brille en moi

Comme la marque divine de notre cheminement lumineux

Baigner sans aucun dogme dans sa foi originelle

Libre du temps et des lois de l'homme,

Marquant l'autre rive comme un phare d'amour total

La souffrance pénêtre en vous doucement et s'évertue à voiler votre parcours

Etes-vous si dangereux pour avoir osé violer les lois du monde?

L'être inconscient de cette autre vérité vous juge immédiatement

Et vous voilà proscrit de la légalité, de la conformité, de cette société

 

La faute est commise, mais vous l'acceptez, l'affrontez, répondez présent

Vous réparez votre faute, qui n'a jamais fauté?

Notre foi, pourtant transcrise par l'être en témoigne longuement

Pourtant l'être vertueux s'acharne sur le repenti

Parle-moi de la vertu? De quelle vertu s'agit-il?

Celle de la vie, qui donne naissance au pardon, à l'acceptation des différences

Ou celle qui semble-t-il qui s'impose à l'être par un jugement savamment construit

L'illusion s'est imposée au règne de notre monde

Il parait si complexe et diversifié mais pourtant il repose sur la seule loi de l'homme

 

J'ai posé mon âme sur le sommet de ce temple familier

Je me suis assoupi pour enfin pleurer, seul dans les bras de l'univers

J'ai crié et demandé de ne plus vivre dans ce monde prédateur

Pestant contre mon innocence à n'avoir pas accepté ma réalité

J'ai vu cette lumière, qui demeure si familière, je l'ai souvent franchie

J'ai accepté aussi, le tsunami de la rumeur, qui a peut être rendue des êtres heureux

De s'abreuver comme des démons de son aberration,

Le règne de l'illusion s'exerce sur l'être par ceux qui en cultivent l'intérêt

Asseoir le pouvoir par l'asservissement du troupeau de notre humanité

 

Là-haut dans d'autres plans vibratoires; la questions se pose

 

Chaque pas de l'être conditionnera sa survie dimensionnelle

 

Mon être change, ma foi demeure, mon amour est plus fort,

 

Et vous?



26/10/2012
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